L'azide de sodium est surtout connu comme le produit chimique présent dans les airbags des automobiles. Une charge électrique déclenchée par un impact automobile provoque l'explosion de l'azoture de sodium et sa conversion en azote gazeux à l'intérieur de l'airbag L'azoture de sodium est utilisé comme conservateur chimique dans les hôpitaux et les laboratoires.
Pourquoi la quantité d'azide de sodium dans les airbags est-elle si importante ?
Une poignée (130 grammes) d'azoture de sodium produira 67 litres d'azote gazeux --ce qui est suffisant pour gonfler un coussin gonflable normal. … Le sodium est un métal très réactif qui réagit rapidement avec l'eau pour former de l'hydroxyde de sodium; par conséquent, il serait très nocif s'il entrait dans vos yeux, votre nez ou votre bouche.
Quel est l'un des inconvénients de l'utilisation d'azide de sodium dans les airbags ?
Manger aussi peu que 50 milligrammes (moins de deux millièmes d'once) d'azoture de sodium peut entraîner un collapsus et un état semblable à un coma en cinq minutes lorsque la tension artérielle chuteet la fréquence cardiaque monte en flèche. Ingérez quelques grammes et la mort survient dans les 40 minutes.
Pourquoi les fabricants ont-ils voulu arrêter d'utiliser de l'azide de sodium dans les airbags ?
Réactions chimiques utilisées pour générer le gaz
L'azide de sodium (NaN3) peut se décomposer à 300oC pour produisent du sodium métallique (Na) et de l'azote gazeux (N2). … ( Les oxydes métalliques de première période, tels que Na2O et K2O, sont hautement réactifs, il serait donc dangereux de leur permettre d'être le produit final de la détonation de l'airbag.)
Pourquoi l'azote est-il utilisé dans les airbags ?
Pourquoi l'azote est-il utilisé dans les airbags ? Des capteurs à l'avant d'un véhicule détectent une collision en envoyant un signal électrique à une cartouche qui contient de l'azoture de sodium faisant exploser une petite quantité d'un composé allumeur. La chaleur de l'allumage provoque la génération d'azote gazeux, gonflant complètement l'airbag en.