La plupart des voyageurs étaient des Canadiens français, recrutés dans villages et villes, comme Sorel, Trois-Rivières, Québec et Montréal Les voyageurs pouvaient être identifiés par leurs vêtements distinctifs. Ils portaient souvent une tuque rouge et une ceinture autour de la taille. La chemise en coton blanc protégeait du soleil et des moustiques.
Qui étaient les voyageurs au Canada ?
Les voyageurs étaient entrepreneurs indépendants, ouvriers ou partenaires mineurs dans les entreprises impliquées dans le commerce de la fourrure Ils étaient autorisés à transporter des marchandises vers les postes de traite et n'avaient généralement pas le droit de faire le commerce de leur posséder. Le commerce des fourrures a changé au fil des ans, tout comme les groupes d'hommes qui y travaillaient.
Combien y a-t-il de voyageurs ?
Voyageur est un mot français qui signifie "voyageur". Depuis le début de la traite des fourrures dans les années 1680 jusqu'à la fin des années 1870, les voyageurs étaient les cols bleus de la traite des fourrures à Montréal. À leur apogée dans les années 1810, ils comptaient jusqu'à 3 000 hommes Embauchés dans les fermes et les villages du Saint
Combien y a-t-il d'hommes dans un canot voyageur ?
Non seulement les voyageurs pagayaient leurs canots avec un équipage de quatre à six, mais ils portaient aussi leur cargaison.
Quelle langue parlaient les voyageurs ?
Bien que les nouveaux employeurs soient anglais, la langue de travail restera le français. Dans Making the Voyageur World, Carolyn Podruchny estime le nombre de voyageurs à 500 en 1784, 1 500 en 1802 et 3 000 en 1821 au plus fort de la traite des fourrures.