Étape importante pour devenir médecin, les étudiants en médecine doivent prêter le serment d'Hippocrate. Et l'une des promesses contenues dans ce serment est "d'abord, ne pas faire de mal" (ou "primum non nocere", la traduction latine du grec original.)
Les médecins prêtent-ils vraiment le serment d'Hippocrate ?
Le serment d'Hippocrate est un serment d'éthique historiquement prêté par les médecins. C'est l'un des textes médicaux grecs les plus connus. Dans sa forme originale, il oblige un nouveau médecin à jurer, par un certain nombre de dieux guérisseurs, de respecter des normes éthiques spécifiques.
Quel pourcentage de médecins prêtent le serment d'Hippocrate ?
Dans l'ensemble, 56 % des médecins ont prêté le serment d'Hippocrate.
Le serment d'Hippocrate est-il facultatif ?
Un sondage mené par Medscape montre que la popularité du serment d'Hippocrate, un vœu facultatif de respecter certaines normes éthiques, diminue au profit de serments alternatifs, voire d'aucun serment du tout.
Tous les travailleurs de la santé doivent-ils prêter le serment d'Hippocrate ?
Les infirmières et autres professionnels de la santé ne prêtent pas le serment d'Hippocrate, bien qu'ils puissent faire des promesses similaires dans le cadre de leurs cérémonies de remise des diplômes. L'une de ces alternatives: la promesse de Nightingale, un document rédigé en 1893 et nommé en l'honneur de la fondatrice des soins infirmiers modernes, Florence Nightingale.